• 12/11/2012Position: 21, 55 ' N, 19, 32 ' W

    cours : 215 T

    Vitesse : 5.6 à 8 nœuds

    Dist: 362

     


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  • Grande houle par l'arrière,

    quelques problèmes technique pour rusée de Jersey

    Mais tout va bien

    Position: 23, 46 ' N, 18, 24 ' W

    Vitesse : 5,7

    Cours : 213 T

    Dist : 489 M

      

    10/11/2012

    Position : 25, 38'N, 17, 04'W,

    Cours : 214 T.

    Vitesse : 6.0N

    Dist : 621 milles                

    Mer, agitée, Ciel en partie nuageux.

      

    Grande partie de la nuit dernière au moteur et 4H aujourd'hui 

     


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  • EXOCET & Rusée de Jersey voyageront ensemble en direction du Cap Vert. ils resteront si possible en communication VHF.

    La distance à parcourir est de 795 milles nautiques et leur course sera de 213 degrés vrais.

    Ils sont en mer pour environ 7 jours.

    Je ne manquerai pas de vous donner des nouvelles dés que nous en aurons..

    Message:

    Vendredi 9 novembre 2012 0h55

    Position 27,10'N, 15,56'W,

    Vitesse 4.6N

    course 210T,

    Dist. 732 nm

     


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  • Faire le canard sur Gran Canaria

     

    Faire le canard signifie ne rien dire, ne pas commenter, ne pas en rajouter, je ne serais donc pas long sur les commentaires qu’auraient surement mérités cette ile, Capitale de l’archipel.

    Depuis qu’Exocet est au mouillage devant cette grande ville avec buildings en front de Mer, circulation abondante, et tout ce qu’une grande ville se doit d’offrir à ses habitants, sans oublier ce qu’il faut aux touristes nombreux dans les multiples hôtels, ou de passage depuis les bateaux de croisières, qui tous les jours, réglés comme sur une partition, déversent une multitude de clients potentiels, pour toutes les formes de commerces, qui n’ont rien à envier aux grandes villes de notre patrie.

    Faire le canard sur Gran Canaria

    A l’image de ce ciel percé de quelques gloires, la météo n’a pas été bien bonne mais, je sais que les froidures automnales se sont déjà fait ressentir par chez  nous  dans le Languedoc, cela a eu pour conséquence que je ne me suis absenté du Bateau, que le temps de brèves escapades à terre.

    Bien sur j’ai parcouru le front de Mer, une promenade bien aménagée pour les promeneurs, les cyclistes, mais bordée par une voie, telle une autoroute, trois voies dans les deux sens de circulation, très peu de passage pour permettre aux piétons de traverser. Cela la rend un peu déserte quel  que soit l’heure de la journée. C’est bien dommage, les Urbanistes se sont un peu plantés sur cette réalisation.

     Je vous laisse juger de cela.

    Faire le canard sur Gran Canaria

    Là nous sommes en bordure du port de plaisance qui n’est accessible que par un escalier, une rampe pour vélos et piétons, et un passage sous la voie rapide pour les véhicules.

    Faire le canard sur Gran Canaria

    Plus loin, le port en fond c’est complètement inutilisé. J’y ai croisé de rares cyclistes qui profitaient de la piste cyclable pour y faire des chronos. De là je voyais cette plateforme de forage en entretien de l’autre côté du port qui est immense, cela  me rappelle une période de ma vie sur ces structures semi submersibles à chercher au fond des Mers le pétrole. Mais je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre. Il y en a deux ici sur lesquelles jours et nuits des hommes travaillent pour remettre en état ou y  apporter des modifications.

    Faire le canard sur Gran Canaria

    Tout au bout il y a cette structure avec ces équipements pour la forme des joggeurs du matin. Mais inutilisé à cette heure chaude de l’après midi, 30° à l’ombre et  il n’y a pas d’ombre.

    Faire le canard sur Gran Canaria

    Les rues du centre elles non plus n’étaient pas courues par les chalands.

    Je suis rentré sur Exocet pour terminer la journée, je n’ai vu de la ville que des commerces des enseignes internationales.

    Faire le canard sur Gran Canaria

    Au matin ce magnifique navire école de la Marine Chilienne L’Esméralda est entré au port, tout l’équipage des cadets alignés sur le pont, salués par quelques bateaux qui ont joué de la corne de brume. En arrière plan vous voyez un de ces monstres des Mers capables d’embarquer 3000 Croisiéristes et pas moins de 1500 à 2000 personnels pour servir ces touristes, ils ne sont à bord que pour de nuit faire des courtes navigations, alors qu’ils sont dans les restaurants ou dans leur cabine pour dormir, à moins que ce soit devant des bandits manchots (machines à sous) dans le Casino du bord.

    Au matin ce sera un autre port un autre endroit mais finalement ce sera partout la même chose. Il en faut pour tous, les gouts et les couleurs, à chacun de voir. Mais je les vois de mon avis comme des gogos, a se faire plumer à chaque escale, qui ne leur laisse le temps que de faire un des programmes prévus en supplément à  la croisière, ou ils seront emmenés  par car entier, visiter tel ou tel site, avec passage à la boutique des souvenirs, authentiques made in Corée, China, ou autres pays d’Asie.

     

    Faire le canard sur Gran Canaria

    Je n’ai pas eu la possibilité de prendre une voiture de location pour faire un tour de l’ile, cela ne m’aurait  pas déplu mais bon, la sécurité du bateau a bien prévalue, ce sera pour une autre fois, si autre fois il y a.

    Demain jeudi 8 novembre nous avons prévu de lever l’ancre à deux bateaux (Rusée de Jersey et Exocet) pour descendre plein sud en direction du Cap Vert pour rejoindre l’ile de Sal. Je resterais bien silencieux pendant 6 ou 7 jours le temps de faire les 800 milles qui nous faudra courir.

     


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  • Départ pour le Cap Vert 800 milles à courir...

    08/11/2012

    Et la pêche est déja trés bonne


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  • La longue route

    Inexorablement, l’horloge tourne, le temps passe, les jours défilent, nous ne pouvons qu’en faire le constat au quotidien. Nous avons tourné la page du mois d’Octobre comme cela sans un bruit, sans une rumeur, sans un regret. Cette page sur le calendrier de la cabine était illustrée de la photo de notre petit fils  avec son sourire retenu et ses yeux profonds il me faisait le premier clin d’œil du matin.

    Je ne peux pas faire autrement que d’en illustrer ce propos qui pour une fois ne racontera pas par le détail des aventures de Mer mais en lieu et place les sentiments que cette condition choisie de départ pour vivre un rêve. Le temps, météorologiquement  parlant, n’est pas formidable depuis maintenant bien des jours, il ne me permet pas de faire mon programme voulu, sachant que je n’avais tracé expressément que les grandes  lignes pour justement m’adapter aux conditions du vent, de la Mer, et de tous les paramètres qui régissent notre planète.

    Je suis sur le point d’écourter le séjour Canarien par choix, car il y a choix à faire : soit dés que les conditions permettent je file sur les deux îles que j’avais en tête de visiter, La Goméra et Hierro, au risque de rater des conditions favorables pour rejoindre ensuite le Cap vert, soit dés que cela semble possible, les voiles seraient hissées, pour rejoindre cet archipel Capverdien directement. Parce que là m’attend un rendez vous qu’il n’est pas envisageable de rater. En effet c’est à  la fin de ce mois juste commencé que les copains vont rejoindre Exocet pour faire tous ensemble le saut de l’Océan. Voila l’état de mes cogitations actuelles de toutes façons il me faut envisager des coupes sombres dans les plans initiaux dans les trente jours qui nous séparent je ne peux trouver le temps de faire la totalité des îles que ce soit celles citées des Canaries ou de celles du Cap Vert.

    La prudence prêche pour la route Sud au plus tôt, la Goméra et Hierro seraient sacrifiées mais cela a un précédent, j’ai déjà sacrifié Madère, me contentant de Porto Santo pour avoir une vue sur ce coin de l’Atlantique. Je commence à comprendre les navigateurs qui une fois passé quelques temps aux Antilles remettent cap à l’Est pour refaire la boucle des Açores, Madère, Canaries, Cap Vert avec ou non une incursion en Casamance et pour clôturer le Brésil. L’idée trotte dans ma tête, mais au petit trop pour le moment.

    Dans ma jeunesse Bernard Moitessier a surpris le monde entier en décidant d’abandonner la course pour laquelle il s’était engagé et préparé pour aller voir et vivre ce que la course ne lui apporterait pas cela est certain. Maintenant je comprends bien sa décision, elle était le constat que si l’on prend une rue, on en oublie une autre, si l’on va à droite que se passe t’il a gauche, si l’on gravit des sommets de montagne, en en ignore les cavités. Il me faut à mon tour tracer ma route il en est plus que temps trop de temps a été perdu en restant statique, immobile, anesthésier par la ritournelle du quotidien.

    En écrivant cela j’entrevois que je peux peiner certains, faire du mal à des êtres chers, mais cela n’est pas mon intention bien au contraire. Je ne regrette en rien la route que j’ai tracée dans ma vie, les impasses dans lesquelles je me suis fourvoyé, J’emporte tout cela avec moi, mon cœur est plein de ces moments vécus avec les uns, les autres, ici, ailleurs. A tous un grand merci pour m’avoir comblé de vos mots, de vos sourires, de votre aide, de votre amour.

    Ne terminons pas en tristesse à l’image qui accompagnera tout au long de ce mois de Novembre mes réveils. Je lis de la fierté, de la joie, du recueillement, dans cette photo qui prise lors d’un hommage à des aïeux qu’ils n’ont pas connus, mes petits enfants font monter en moi l’émotion du respect de la vie des uns et des autres, de leurs choix, de leurs chemins, que chacun trace sa route elle est belle ici mais tout autant ailleurs.


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  • Forte aventure a Fuerteventura

    Quatrième partie et fin.

     

    J’ai dit adieu à Fuerteventura le dimanche 28 octobre, en retour de mon départ pour de nouveaux horizons, cette île m’a fait un gentil cadeau. Je vous raconte : Le 25 octobre jour mémorable, je décide de lâcher les amarres du port de Gran Tarajal. Sachant que ce départ aller me séparer de ces personnes avec qui j’avais tant partagées. La veille j’avais réglé la note du port, mes pleins d’eau étaient faits, les vivres sont en abondances à bord d’Exocet, il fait un beau temps de fin d’été, la chaleur est agréable sans excès 25°. Le vent fait bien un peu défaut mais les prévisions à l’échéance d’une semaine n’apportent pas de modifications intéressantes pour moi, aussi je veux pouvoir finir mon programme sur les Canaries avant de traverser sur le Cap Vert. Je dois donc rejoindre Gran Canaria, pour se faire je me suis décidé de faire une petite navigation pour descendre dans le Sud de Fuerteventura jusqu’au port de Morro Jable.

    Forte aventure a Fuerteventura 4

    A 12 h 15 je fais les préparatifs à l’appareillage, à 13 h Claude de Mayéro vient me donner un coup de main pour lâcher les amarres, Agnès sa compagne est allée donner un cours de Français via Skype, je l’ai croisée en revenant de la ville où j’avais fini mes achats par l’acquisition d’une nouvelle drisse pour ma grand voile. Le lendemain eux aussi reprendront leur navigation pour la côte marocaine et ensuite en côtier reliront Dakar au Sénégal. Les reverrais-je un jour ?

     

    MayéroForte aventure a Fuerteventura 4

     

     A 13 h 25 Exocet est sous voile, la grand voile haute, le génois à un ris pour qu’il soit plus plat et aussi parce que j’ai mis en place l’étai  largable qui vient doubler l’étai sur lequel est le génois.

    Le vent se lève rapidement dés la sortie du port, pas un vent extraordinaire mais une jolie brise qui me permet de naviguer à la voile pure, un grand bord au pré me fait rejoindre la côte 1 heure après mon départ, je fais un virement de bord pour prendre le large il ne me rapproche pas de mon objectif mais il faut en passer par là.

    Forte aventure a Fuerteventura 4L’octopus

    Je ferais donc une succession de virements de bord pour remonter contre le vent qui vient du Sud, l’alizé nous a abandonné lâchement. L’octopus, (leurre pour poissons imitant un petit poulpe) traine au bout de 50 mètres de fil de Nylon derrière le bateau. La vitesse varie avec le vent ce n’est pas régulier, mais je fais route en adaptant la voilure lâché du ris du génois, reprise d’un ris dans le génois puis un dans la G.V et encore un deuxième dans GG. Puis à nouveau tout dessus.

    J’ai enlevé l’étai largable pour faire mes virements de bord car sans cela je dois rouler le génois sur un bord puis une fois changé la route dérouler sur le nouveau bord. Ce n’est pas pratique voilà pourquoi cet étai peut à loisir être installé ou retiré. Il est utile au vent arrière pour établir dessus une voile complémentaire sur l’avant.

    Forte aventure a Fuerteventura 4

    A 5 minutes d’arrivée, le crépitement du moulinet de la canne se fait entendre, Psitt...., Psitt..., puis plus rien je constaterais penaud que la ligne a cassée et que le poisson est parti avec tous le bas de ligne, fil d’acier, émerillon, Plomb, octopus et hameçon. Je peste un peu  intérieurement mais ce n’est pas tous les jours que l’on gagne.

     

    A 19 h Exocet est amarré sur un ponton en désuétude dans le bassin sinistré du port de Morro Jable.

    Forte aventure a Fuerteventura 4

    Je passerais une nuit tranquille dans ce bassin qui abrite quelques voiliers en transit et des petits bateaux à l’abandon. Un personnage a élu domicile sur ce qui était un bateau mais qui ressemble plus à rien maintenant un grand chien assure la surveillance durant les absences du quidam, qui part au matin travailler en ville, pour ne revenir qu’au soir. J’ai lié amitié avec ce représentant des canidés qui était content que l’on joue un peu avec lui.  En fin de matinée Marléna  annonçait son arrivée, je suis allé les accueillir et nous avons partagé un verre de Rosé pamplemousse avec quelques biscuits salés sur Exocet.

    Nous projetons de partir le lendemain pour aller mouiller à la pointe Sud Ouest de Fuerteventura pour raccourcir la traversée sur Gran Canaria à 50 milles nautiques (soit 92 Km Mais je ne le répéterais plus, un mille égale 1852 mètres.) Cette traversée que nous envisageons de faire le sur-lendemain.

    Je reçois une invitation pour un repas typique Bavarois, car Hubert, qui cuisine à bord, est d’origine de cette région d’Allemagne. Aussi nous passerons une bien agréable soirée à bord de Marléna.

    Nous ferons des plans pour les navigations futures.

    Forte aventure a Fuerteventura 4

    Samedi 27 octobre à 11 heures nous partons ensemble pour faire cette 15éne de milles qui nous emmènent  au prés du phare qui signale la fin de l’île côté Ouest sur la péninsule de Jandia, un petit bourg avec quelques petites barques de pêcheurs se nichent dans cette baie : El puertito de la Cruz.

    A quelques longueurs de l’arrivée : Psitt..psitt... la chanson du moulinet  se fait entendre je freine avec délicatesse le tambour, prend en main la canne, ralentis le moteur qui me  propulse depuis notre départ. Puis m’affaire à reprendre le fil que cette chose a pris, par moment je ressens les vibrations du poisson qui cherche à se défaire des hameçons puis rien le fil remonte sans difficulté je me demande si le scénario de l’arrivée à Morro Jable se répète, mais non il y a bien un poisson là que je vois en surface suivre le leurre. Le combat n’a pas été  long, un Barracuda d’1Kg 150 rejoint la cambuse.

    Forte aventure a Fuerteventura 4

    Le Barracuda 70 Cm de la tête à la queue

     

     Il sera le prétexte de rendre l’invitation de Marléna et se sera encore une bonne soirée passée ensemble entre navigateurs à se raconter des histoires de navigateurs.

    A minuit nous appareillons pour faire de nuit la traversée qui devra être faite moteur ronflant, par Mer belle, vent nul ou presque et une clarté incomparable due à Madame la Lune. 

     

    Forte aventure a Fuerteventura 4

     

    Merci  Fuerteventura de me faire ce cadeau d’adieu, de m’offrir mon premier poisson après tant et tant de milles parcourus depuis Port Camargue.

    Puisque l’on est à l’heure des cadeaux je vous en fais un à mon tour, mais c’est Marléna qui en est l’auteur, c’est la première photo récente que j’ai reçu d’Exocet sous voiles. Comme l’on m’y aperçoit, cela donne une échelle qui parle ainsi mieux que les photos aux mouillages dont je vous abreuve généreusement.

    Forte aventure a Fuerteventura 4exocet

      

    OH ! mon bateau oh, oh, oh

    C’est le plus beau des bateaux

    Quant il navigue sur les flots

    Il n’y a rien de plus beau

    C’est le plus beau des bateaux...

     


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  • Exocet est au mouillage devant la plage de la Alcaravaneras

    Position 28 07 89 N  15 25 52 W

    La coryphéne pése 1 kg, Le barracuda était excellent et la soirée sympa

    28/10


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  • Forte aventure a Fuerteventura

    Troisième partie

      Il me faut une conclusion au récit de cette semaine passée a Gran Tarajal, j’en ai bien profité, j’ai pris le temps de l’aventure, de la découverte de l’île. Je suis allé au Nord voir les grandes plages de sable blond, La ville de Corralejo immense complexe touristique.

     

    Forte aventure a Fuerteventura 3

     

    La voiture m’a conduit, ou le contraire, sur la côte au vent voir les vagues de l’Océan saper sans discontinuer les falaises du littoral.

     

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    Un arrêt au Phare d’El Cotillo.

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    Avec l’annexe à quatre roues nous avons parcouru les plaines agricoles de La Oliva avec ses Fincas encore en production.

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    La Tindaya m’a révélé ses étendues de terre vierge  où une maigre végétation ne permet de nourrir que des chèvres.

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    A Tetir j’ai fait une immersion dans le passé, cela pourrait être un décor de cinéma, peu de choses sont contemporaines.

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    Au sud je suis allé au plus loin que possible avec un véhicule, le long des nombreux complexes touristiques, mais aussi avec une splendeur des paysages, qui restent imprégnés dans ma mémoire « vive pour bien du temps j’espère »

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    Avant de quitter le port je suis allé  au Supermarché, refaire le plein de vivres frais, j’ai fait l’ouverture, comme un retraité qui se respecte, le personnel n’avait  pas fini les mises en rayon, je n’ai pu retenir un sourire intérieur en me remémorant les critiques à l’endroit des anciens qui n’ont rien d’urgent à faire mais qui dès l’ouverture des commerces sont cabas à la main dans les rayons en pestant contre les cartons, palettes, et transpalettes qui encombrent les allées. Une Amie B------e se reconnaitra, je lui fais des bises depuis les îles Canaries, en me découvrant la tête de mon Panama.

    Forte aventure a Fuerteventura 3

    Mais je suis encore dans cet archipel pour quelques jours, je vous raconterais.


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  • Exocet est au mouillage pointe de Jandia
    Position 28 04 22 N 14 30 02 W
    Le barracuda est en darme dans une marinade .
    Ce soir ,repas à bord avec l'équipage de Marléna.
      
    27/10

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