• Balade à Mustique
     

    J’ai l’intention de vous faire découvrir Mustique, une balade rapide certes mais l’île n’est pas grande comme la Corse, ni  même Minorque, c’est la taille de l’ile de Ré à quelques choses prés.

    Ne vous attendez pas à de long commentaires je me ferais discret au possible.
    Vous êtes prêts alors en voiture.

     


    Des voitures il y en a bien sur, et des belles, mais il y a surtout ces voiturettes de toutes marques, amusantes, bien en accord avec la taille des voies qui ne sont pas des autoroutes.


    Commençons par les panoramas, vues des hauteurs.



      


    Vous le reconnaissez celui-ci ? oui, c’est Exocet!



    Vues aussi du bord de Mer.




    Puis maintenant aux alentours du village.




     



    Je vous repose une question, vous le connaissez celui là,

    c’est la même réponse bien sur, Exocet.


    Maintenant un peu des vues sur la végétation et les espaces bichonnés par une multitude de Jardiniers.








    Il y a encore des espaces sauvages et naturels, mais pas de pollution apparente. Cela fait plaisir même si le prix à payer est conséquent.







    Des villas, des châteaux, se cachent  ici et là, un aperçu cependant sans prétention de ma part, sans savoir a qui ils appartiennent. Quoi que le chauffeur du Pickup nous donnait ses renseignements, mais je ne fais aucun cas de cela.




      

      

      

     





    Les commerces sont eux aussi bien séduisants rien à voir avec nos supermarchés, à vous de juger.


     




    Il y a aussi de jolis coins pour un moment de farniente, de repos, de repas, et de bain.






    Plus de place pour laisser la trace de mon passage en ce lieu.
    Nous arrivons à la fin de cette visite, j’espère quelle vous a plu, que cela va vous donner envie de venir y voir par vous-même, et comme nous cela vous aura donné soif, alors un lieu incontournable sur Mustique, qui a une réputation internationale où il faut être vu avec  une célébrité éventuellement,

    si non ça fait plouc.  « Le Basil’s bar »






    Pour nous pas de Reine, de Prince, de chanteur connus, de VIP, rien, personne.
    Mais nous c’est qui ? Je vous ai pas dit, pour ceux  qui suivent, ils savent, mais pour les autres :



    Martin, Sophie, Clémentine, l’équipage de Standbyme, qui m’ont invité à venir profiter du Taxi, alors merci à eux, sans quoi vous n’auriez pas eu le plaisir de cette visite.



    C’est Zen.



    C’est sensuel et érotique.



    Une porte entre ouverte sur des plaisirs savoureux.

    En un mot, c’est Canon….


     


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  • PORT CALIVIGNY

     

     

    PORT CALIVIGNY

     

     

    PORT CALIVIGNY

     

     

    PORT CALIVIGNY


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    Neptune et Éole étaient en RTT

      

    Samedi 9 novembre 2013.


    Il en va du temps comme bien des choses sur terre, il y a les jours avec et les jours sans. Quoi qu’il y a toujours pire que mal, et comme disait mon Père : (cela va de plus mal en plumeau) (un journal des journaux, un cheval des chevaux, vous y êtes, un « plus mal » des plumeaux , il faut tout vous expliquer.) tout cela pour dire que la journée d’hier (j’écris ce récit le 10) n’a pas été  réjouissante quoi que aujourd’hui c’est pire (plumeau), Nous avions une longue route à faire Exocet et son compagnon de route Standbyme, le plan initial était de partir de Port Élisabeth sur Bequia (à ce sujet je rappelle pour les étourdis ou les nouveaux venus que Bequia se prononce (Békoué). De là, par un bord de prés serré monter dans l’Est pour passer au vent de Saint Vincent sur la côte Est par conséquent. Puis de la route libre sur les Pitons de Sainte Lucie.

    Neptune et Éole étaient en RTT

      

    53 miles à courir sans avoir à subir le déventement de l’île, mais, il y a un mais, Éole en RTT avait laissé une porte entrouverte avant de partir du bureau alors toute la nuit le vent s’est échappé par celle-ci (Il va se faire dire deux mots par le grand patron)  quoi qu’il en soit le canal entre Bequia et Saint Vincent n’aurait pu être franchi qu’en tirant des bords au louvoyage, le matin à jeun, bof ce n’est pas cool. Aussi résolution collective, nous passons sous le vent de Saint Vincent. Ok pour toi, ok pour moi.

    6 heures 30 les ancres rejoignent leur baille respective, nous descendons sous le vent du mouillage pour faire face aux 18 Nds de vent dans l’abri de Port Élisabeth pour établir les grands voiles, Standbyme choisit de partir 2 ris Gv et génois 100%. De mon côté, je prends l’option 1 ris Gv et génois 2 ris. Ne vous chagrinez pas pour ce qui semble à priori bien différent, les deux bateaux ne sont pas identiques, et bien loin d’avoir les mêmes caractéristiques, les catamarans ont une grand voile de grande surface par rapport à leur génois, Exocet c’est le contraire la grand voile porte un nom qui ne reflète pas la réalité arithmétique, son génois est bien plus grand voila pourquoi nos choix sont différents.


    Neptune et Éole étaient en RTT


    Approche de Sainte Lucie et ses deux pitons (janvier 2013)


    La route pour passer au Sud-Ouest de Saint Vincent est au débridé c'est-à-dire au prés  avec un angle un peu plus ouvert, une allure rapide pour tous les bateaux et pour filocher je vous dis que ça, 10 voir 11 Nds au speedo 8 à 9 GPS. Les vagues sont belles mais comme le bateau les reçoit sur le côté elles ne ralentissent  pas la progression. Donc, sportif mais bien agréable un début de matinée pour faire de la route. Naturellement sous le vent de Saint Vincent le vent est perturbé il vient d’ici puis de là, monte l’échelle de Beaufort là redescend, bon en un mot c’est le bordel ! Car les vagues elles arrivent toujours en ayant contournées  l’île d’un côté et de l’autre aussi c’est chaotique à souhait. Les subalternes de Neptune profitent que le chef n’est pas la pour faire les fous dans leur grande piscine et ce chahut agite la Mer.

    Eux aussi vont avoir des remontrances et des blâmes...


    Neptune et Éole étaient en RTT


    Autre vue des Pitons (janvier 2013)


    Le moteur vient arranger un peu le confort à bord, et aide à tenir la moyenne. Il y a des milles à courir encore, Exocet monte le long de la côte sous le vent, la situation est plus agréable au fur et à mesure de la remontée, puis les vagues reviennent avant le vent, la coque pioche dans la mer faisant jaillir des gerbes d’eau de part et d’autre, la vitesse s’en ressent, je pousse un peu la manette des gaz, 2000 TM, puis le vent revient par intermittence, un souffle ici, un autre là, une bourrasque, puis un calme. Le moteur encore en route aide bien à sortir de cette zone de conflit. Avec la fin de l’île la situation est plus claire, le vent dans la pipe 25 Nds des rafales à 28, et avec la vitesse du bateau l’anémomètre indique entre 28 et 34 voir 35 Nds. La Mer est à nouveau bien formée de belles vagues 1,5 à 2 mètres de creux parfois assez éloignées l’une de l’autre, mais il arrive que derrière un creux de vague il y en a une autre toute proche, l’étrave qui descend dans le creux se voit submergée par la traitre qui se cachait juste là, l’eau grimpe sur le pont jusqu’au mât puis court sur les passes avants jusqu'à l’arrière pour venir inonder le cockpit. Pour être propre le bateau sera propre au soir.


    Neptune et Éole étaient en RTT


    Toujours les deux pitons (janvier 2013)


    Le canal entre les deux îles est long de 30 à 35 milles et l’influence commence avant et se finit plus tard, cela fait un bien long moment à se faire secouer. Bon mais c’est cela la Mer il y a les jours avec et les jours sans. Enfin sous le vent de Sainte Lucie ça ira mieux me dis je, mais que nenni le vent tombe ça c’est dit, mais la houle contourne là  aussi l’île et se heurte à la Mer qui elle a fait le choix de passer par l’autre côté nous sommes dans un chaudron de sorcière. Le moteur va aider, mais ne fera  pas tout, durant une heure encore ce sera chahut à bord, puis le calme arrivera, et sur une Mer assagie, Exocet rejoindra son copain de route, qui lui a mis une belle heure dans la vue, c’est rapide un cata, j’ai le temps de mettre de l’ordre sur le pont ranger les voiles, et arrivée au mouillage juste avant qu’il ne fasse nuit. Nous avons changé de destination finalement car le fait que nous étions bien à l’Ouest des deux pitons, ils nous auraient fallu faire deux heures de moteur pour rejoindre alors que deux heures de navigations nous séparaient de Marigot bay bien plus agréable que les pitons.


    Neptune et Éole étaient en RTT


    L’entrée de Marigot Bay (janvier 2013)


    Sacrée journée, mais si cela avait été aujourd’hui cela aurait été pire car en plus du vent qui est encore fort toujours assez Nord, il a plu abondamment, alors on a eu de la chance, là on passe une journée cool, les bateaux qui arrivent en nombre maintenant portent  les stigmates de dures conditions. La météo l’avait bien prévue, les conditions allaient se dégrader et s’accentuer.
    Ça irait de plus mal en plumeau.


    Neptune et Éole étaient en RTT


    Le mouillage de Marigot Bay (janvier 2013)


    Leçon à tirer de cette journée, en plus de la météo les capitaines devront se renseigner, sur les jours de congés ou de RTT des dieux de l’olympe susceptibles de contrarier leur navigation.
    Vous comprendrez qu’avec ces conditions l’appareil photos n’a pas eu de permission de sortie donc pas de photos du jour pour illustrer ce texte. Elles datent du séjour de Sébastien et Christelle en janvier 2013.

    Les conditions n’avaient rien de comparable.


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  • 10/11/13

    Exocet est arrivé sur St Lucie


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  •   

    De Mustique à Béquia.

     

    On peut ne pas parler la d’une navigation, c’est 12 miles Nautique qui séparent ces deux endroits, mais comme il n’y a pas grand-chose à en dire, je vais vous raconter, ce sera court de ce fait.

     

    8 h 15 ce matin du 8 novembre, nous nous concertons avec Martin pour un départ dans une demi heure, Ok pour toi, Ok pour moi.

     

    Je termine les préparatifs au départ, envoie la grand voile, encore accroché à la bouée de corps mort. Puis largue la bouée et sans avoir mis en route le moteur, Exocet se déhale tranquillement, je tourne la barre, Exocet abat en grand et part vent arrière je donne un peu d’angle encore pour avoir le vent grand largue tribord amure, connecte le pilote, déroule le génois, mets la canne à la traine. Il est 8 h 45 nous sommes en route, j’ai fini de manœuvrer.

     

    Le vent n’est pas fort mais suffisant pour que nous avancions à 5 Nds, la Mer est plate comme un lac sous le vent de Mustique. Je fais un point à 9 h sur le livre de bord. Position, vitesse, cap. Il n’y a rien à faire le pilote tient le cap, les voiles tirent la coque, le clapot commence à se faire entendre le long des bordées. J’observe la Mer, le balai des fous qui parcourent les flots à la recherche de leur pitance, ils sont magnifiques ces oiseaux, volent, planent, rasent la surface de l’eau, remontent en l’air, plongent sur une proie, redécollent avec une facilité déconcertante.

     

    L’ilet Pigeons, (Pigeon inland).

     

     

    Au point de 10 heures je note les coordonnés sur le livre de bord, je suis tout prêt de l’îlot Pigeon à l’extérieur, Standbyme lui est passé entre l’ilot Pigeon et l’île quatre c’est sans difficulté mais j’ai pris la route à l’extérieur pour ne pas avoir à subir la dévente de ces îlots qui sont hauts sur la Mer.

     

     

    L’île Quatre

     

     

    Une fois passé en laissant à tribord « Pigeon island » je peux modifier ma route en serrant le vent un peu plus, Exocet donne le meilleur de lui-même sur cette allure, ça filoche comme j’aime à le dire. Je vise la passe de « West cay » à la pointe Sud Ouest de l’île de Bequia, cette passe m’a toujours fait de l’œil à chaque fois que je suis passé dans ce coin, mais ne l’avais jamais pratiquée. La l’occasion était trop belle, elle me raccourcissait la route, alors droit dessus, il y a 3 mètres d’eau au moins, mais ce n’est pas bien large, alors c’est impressionnent d’arriver à 6 Nds toutes voiles sorties et de passer entre les roches de part et d’autre. J’ai bien aimé et vous ? Ça vous aurez fait quoi ?

     

    La passe de « West cay »

     

    Il y en a deux passes, une est fréquentable, l’autre non.

     

    Lui un jour ou il faisait nuit, il s’est trompé de passe.

     

     

    La passe vue de l’autre côté.

     

     

    Je suis donc de l’autre côté il me faut serrer le vent au maximum pour remonter dans « Admirality bay » je reste tribord amure, monte le plus que je peux, Standbyme qui lui a fait l’extérieur du cap, est donc sous mon vent mais encore bien devant. (À 11h vous vous rappelez des explications du dernier texte) Il virera de bord un moment plus tard, passera 400 mètres devant Exocet, je virerais à mon tour pour me recentrer en direction du mouillage, le vent est irrégulier en direction, comme souvent sous le vent d’une île, je ne me battrais pas comme en régate, j’ai droit au moteur moi alors, Moteur, à rouler le génois, à affaler la grand voile, à préparer l’ancre, une fois ces manœuvres finies je prends la barre pour passer entre les bateaux au mouillage, puis vais poser l’ancre non loin de mon compagnon de route. Nous nous sommes une fois encore fait plaisir.

     

     

    Diaporama de la partie sud de Bequia.

    De Mustique à Béquia

     

      

    Merci Neptune, merci Éole, merci le ciel bleu,

     

    merci Exocet tu ne m’as pas deçu.

     

     

    Le bar Restaurant non loin d’Exocet.

     

    De Mustique à Béquia

      


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    Bateaux rencontrés

    Au cours de notre périple nous avons croisé beaucoup de bateaux, avec qui nous avons parfois fait un bout de chemin.

    Bateaux rencontrés

    Standbyme

     

    Bateaux rencontrés

    Les quebequois

     

     

    Bateaux rencontrés

    Te Raplaga

     

    Bateaux rencontrés

    contre-temps

     

    Bateaux rencontrés

    Shere Khan

     

    Bateaux rencontrés

    Kounnji

     

    Bateaux rencontrés

    Jéré Alizée

     

    Bateaux rencontrés

    Freevol


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    Exocet est au mouillage de Béquia
    Encore une sympathique navigation.
     
    08/11/2103
     
    Le temps était magnifique,
    Aujoud'hui pas de poisson, pas une touche ,rien!!!

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    De Petit Saint Vincent à Mustique

      

    Au lever du jour le ciel était bien engageant pour la journée, il y avait bien quelques nuages assez imposants, mais le bleu était majoritaire cependant. Je préparais Exocet pour cette navigation prévue, il y a 25 miles à courir en ligne droite mais cela n’en fait pas bien plus avec les quelques détours qu’il est nécessaire de faire.

    De Petit Saint Vincent à Mustique

     

    A 9 h 15 nos appareillons (Exocet et Standbyme) nous établissons les grands voiles sous le vent du mouillage, puis prenons la direction de ce petit îlot qui figure sur bien des publicités sur les Grenadines et qui porte un nom qui donne une idée sur sa taille, Morpion une 50éne de mètres carrés avec un parasol  planté dessus. Il y a une passe à l’Ouest de cet îlot qui est praticable par tous les bateaux de plaisance. Nous embouquons cette passe et à partir de là il nous faut faire le meilleur cap au prés pour passer au vent du Reef (récif) des Tobago cays. Le vent est bien Est mais sans être fort il permet de tirer parti de la voilure  et de faire avancer les deux coursiers. Le GPS permet de bien visualiser la route sur la cartographie et s’il n’y a pas plus de courant d’Est nous pourrons passer sans avoir à tirer un contre bord. C’est ce qui se passe.

     

    Une heure après l’appareillage j’ai un poisson à bord un joli poisson dont je ne suis pas sur du nom il pourrait s’agir d’un « Barbarin blanc » sous toutes réserves. Il mesure un peu plus de 80 cm et pèse 2,500 Kg ou 5 livres. J’ai déjà pris ce genre de poisson et me suis régalé en les invitant à garnir mes assiettes. (Martin qui a des guides pour identifier les poissons le trouve ressemblant à un vivaneau, je partage aussi cette idée)

     

    la peche du jour

    Le poisson, Barbarin ou Vivaneau ? Qui a la réponse ?

      

    A 11 h 30, le Reef est passé, je peux débrider un peu, nouveau cap moins prés du vent, les voiles sont choquées (relâcher) pour donner à  Exocet la meilleure vélocité. Standbyme m’a déjà bien distancé il est à deux miles devant moi, c’est rapide un cata. Et maintenant il a des conditions idéales pour allonger la foulée.

     

    Il est 11h 30, je suis en train de noter des infos sur le livre de bord, la canne chante c’est un poisson qui s’annonce, après un moment un Barracuda est à bord, une belle pièce encore, 85 cm et 2,600 Kg.

     

    12 h 15 environ ; Sous mon vent, et devant Exocet, (on utilise aussi comme indication pour indiquer une direction le cadran de la montre, 12 h c’est l’étrave du bateau, 6 h la poupe, donc sur la droite on a les heures de 1 à 5, et a gauche de 7 à 11) dans le cas  présent c’est à 10h que je repérais un bateau Pays qui vient dans ma direction mais je suis persuadé qu’il ne représente pas de danger  mais le voilà qui vire de bord et remonte vers ma route il me faut le surveiller. C’est ce que je fais une 10éne de minutes mais il ne me rattrapera pas il fait un bord de prés et passera 100 mètres derrière Exocet.

     

    13 heures, Je suis sous le vent de « Savan Rock » Exocet file à 6 nœuds, la Mer s’arrondit bien à l’abri de ces îlots qui devancent  Mustique, je suis en approche profite du panorama, c’est la première fois que je viens dans ces eaux. La ligne de traine sur la canne chante une fraction de seconde, je ne m’en soucie pas c’est un poisson qui a pris et relâché le leurre, ou une épave entre deux eaux qui a temporairement tiré sur le fil, c’est je que je pense à ce moment là, mais une fois arrivé en remontant la ligne je constaterais que le Rapala a disparu le fil est mâchuré c’est donc un poisson qui a mordu et la ligne a cassé surement au contact de dents bien acérées. Ce Rapala m’a fait prendre quelques poissons disons qu’il est amorti, il doit faire la fierté d’un poisson qui a l’égal des humains portent un piercing à rendre jaloux ses compagnons.

     

    14 h 30 Exocet est accroché à une des bouées qui permettent aux bateaux de passage de s’y amarrer pour 3 nuits maximum, moyennent une redevance de 200 Ec $ ( + - 60 Euros). Mon pain est en cours de pousse, je l’ai mis en route durant la navigation, pour qu’il cuise au moment où le soleil est haut dans le ciel. J’ai aussi préparé une fougassette, c’est une première à bord aussi.

     

    fougassette cuite a bord

    La Fougassette élaborée à bord d’Exocet cuite à la poële.

     

     Les copains de Standbyme n’ont pas pris de poisson, alors je préparerais un plat de poisson en sauce aigre douce pour le soir, que je porterais à leur bord pour que nous le partagions au cours d’une soirée, bien sympathique vous vous en doutez je suis sur.

     

    standbyme

    Standbyme à la bouée à côté d’Exocet.

     

    Voila le récit de cette navigation qui nous permet de nous rapprocher de la Martinique mais à train de sénateur.

    Cool man, cool.

     


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  • Exocet

     

     

    Exocet

     

     

    Exocet

     

     

    Exocet


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  • 07/11/2013

     

    07/11/2013

     

    Petit Panorama de Mustique

    Où Exocet se prélasse...

    07/11/2013


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