• Exocet est au mouillage du carénage devant la la marina bas du fort.

    .16 13 508 N 61 32 054 W.

    News du 31/03/2014


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    Un samedi à Gosier.

     

    Au lever du jour, le temps n’était pas très engageant. La couverture nuageuse bien générale, des petites ondées arrosaient par moment le pont d’Exocet.

    Mais plus tard dans la matinée, cela c’est un peu arrangé, le vent soufflait à 12 / 15 Nds et un peu plus sous les nuages qui parcouraient le ciel.

    Nous sommes allés à terre, le mousse et moi pour nous dégourdir les gambettes, car cela faisait deux jours que nous n’avions pas débarqués du bord. Le temps d’hier n’était pas dés plus engageant, beaucoup d’averses tout au long de la matinée et du vent soutenu. Le printemps nous faisait faux bon.

    Après midi nous avons assisté à l’entrainement de trois Voiliers traditionnels qui régataient sur le plan d’eau en se faufilant entre les bateaux au mouillage.

    Je les observais avec intérêt, ils sont bien des fois passés bien prés d’Exocet. Les équipages semblaient compétents  le spectacle était agréable.

    Nous avons donc pris quelques photos pour vous en rendre compte, en espérant que vous apprécierez ce petit coucou que nous vous faisons depuis le Gosier.

     


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  • Voilà une vidéo prise par Exocet

    De L'Anse d'Arlet en Martinique

    En Novembre Dernier


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  • Voilà une vidéo de Standbyme prise en Novembre dernier

     


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    Une journée printanière a Gosier.

     

    Oui cela est tellement surprenant qu’il me faut le signaler.

    Il va y avoir une journée super.

    Le mouillage devant Gosier

     

    Je me suis réveillé comme à mon habitude de bonne heure, avec les premières lueurs du jour naissant. Un coup d’œil à l’extérieur pour voir la situation, R.A.S Capitaine. Exocet était posé sur l’eau comme s’il était à terre, il ne bougeait pas le moins du monde. L’anémomètre indiquait 3 Nds, le pavillon à l’effigie d’Exocet, pendait le long de sa drisse. Le ciel était bien dégagé, la journée s’annonçait belle, de quoi me mettre un moral au beau fixe.

    Le petit dej en terrasse comme j’aime à le dire, et le prendre bien sur, c’est un moment bien sympa. J’écoutais les infos sur France inter, puis le mousse a fait son apparition, nous avons décidés d’aller faire une lessive, à quelques pas du débarcadère où nous laissons l’annexe. 

    Le mousse dans la laverie.

     

    Une petite marche matinale avec notre baluchon de linge sale, le local de cette laverie en libre service est désert, pas une machine occupée. Aussi pas d’attente, le linge est enfourné la porte verrouillée, le terminal de contrôle et de traitement enregistre le N° de la machine, annonce le prix à payer, il avale mon billet, me restitue pléthore de pièces, le compte est bon, la machine démarre et annonce le temps des cycles terminés, 40 minutes. Nous n’allons pas attendre bêtement, une bricaillerie proche pour des petits achats sera notre but, et retour. Il y a encore dix minutes pour pouvoir récupérer le linge propre et bien essorée, cela passera bien vite, nous reprendrons le chemin de retour en faisant même une poussée jusqu’au centre du bourg pour y faire des emplettes.

    Les montagnes de Basse terre, la Soufrière au milieu, ciel dégagé.

     

    De retour à bord les cordes à linge sont installées, le linge y est accroché, nous buvons un coup à l’ombre du taud, il fait vraiment beau, je vais faire une petite séance de natation dans le mouillage l’eau est idéale un régal. Je m’amuse avec des petits calamars qui me font de ces grimaces incroyables.

    Autre vue du mouillage.

     

    Un repas de crudités et de quelques tranches de saucisson ardéchois, un café ce qui est rare pour moi après le repas,  un moment de bulle, puis nous allons sur l’îlet Gosier faire un tour.

     Une Photo d’un petit iguane

     

    D’une pintade et des poules et coqs qui divaguent librement sur l’ilot.

     

     Une photo du mousse sur la terrasse circulaire du phare en bien mauvais état depuis que personne ne veille à son fonctionnement et à son entretien, c’est bien dommage.

     

     Retour à l’annexe, mais le mousse a voulu faire trempette, incroyable non !

    Un peu de bricolage à bord et voila pour la journée qui a été une belle journée de printemps.

     


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    La fin d’un périple pour le Mousse

     

     

    Voilà que la dernière navigation avec le mousse à bord d’Exocet a été effectuée ce samedi 22 03 2014. Régine ne va pas sans plaindre car décidément la vie sur un bateau ça va mais un bateau qui navigue ça ne va plus où moins bien selon les navigations. J’ai encore eu les réflexions habituelles, signe d’un stress ingérable et qui ne s’améliore pas au fil du temps bien au contraire.

    Mais je vais garder mes états d’âme pour moi ne m’en voulez pas, en plus cela vous ennuierez.

     

    La fin d’un périple pour le Mousse

     

    Nous avons quitté le mouillage sur bouées de l’îlet Cabrit après avoir pris le petit déjeuner, pour moi c’était avant 7 heures mais le mousse à cette heure est encore dans ses songes ou ses cauchemars ; qui peut le dire. Il était donc 8 h30 que nous appareillons avec pour objectif de rejoindre l’îlet Gosier pour y passer le week-end et plus si on le décide. Je manœuvre seul et Exocet attaque cette petite traversée avec entrain, la Grand voile est à un ris, et je ne déroule qu’un peu de Génois le bateau file dans la passe de la baleine. Passé la balise qui matérialise ce banc dangereux pour les bateaux je prends une route directe à 7 Nds mais cela n’a pas durée bien longtemps, le vent a tourné du mauvais côté, en terme de voile ont dit qu’il a « baké » je serrais le vent mais ne fais plus route directe loin sans faut. Nous traversons comme cela le canal des Saintes, mais avec un vent instable en force, une Mer formée, ce n’est ni confortable ni rapide. Il nous faut faire un contre bord pour nous dégager de la côte avec cette Mer le bateau est scotché, (je ne traduis pas), 40 minutes de montagnes russes pour avoir mis une petite distance de la côte, nous reprenons le bord rapprochant, celui qui va plus dans la direction que l’on cherche à rejoindre, mais il en manque toujours. 40 minutes encore sur ce bord puis il nous faut une fois encore prendre le large pour 20 minutes dans les montagnes russes. Berck !!!!

     

    La fin d’un périple pour le Mousse

     

    Ensuite ça passe un peu sur des hauts fond devant Sainte Marie que je n’avais pas envie de parcourir mais en étant vigilant à la cartographie et sur le sondeur nous avons passé cette zone. La Mer a commencé à s’arrondir un peu sous le vent de la partie Nord de la Guadeloupe le bateau marchait mieux, peu à peu j’avais déroulé le Génois. A 14 heures 30 Exocet était au mouillage sous l’îlet Gosier nous allions pouvoir souffler, le mousse ne se plaint pas que les navigations soient pour elle finies.

     

    Pos : 16° 12 120 N 61° 29 630 W

     


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    Du saut de puce à celui du kangourou

     

     

    Nous avons passé une nuit dés plus calme à Bouillante, le vent de Mer qui nous a rafraichi toute l’après midi, c’est couché après que le soleil n’ai plongé derrière l’horizon, en nous offrant un bien joli rayon vert. Pas de houle, ni plus de clapot, pour venir faire dandiner la coque d’Exocet. Les seules nuisances, étaient la cacophonie que faisaient les sonos, embarquées sur des véhicules, faisant la promotion de tel ou tel autre, candidat aux élections municipale. Ca na pas duré bien longtemps dans le début de soirée. 

     

    Ce matin, sans nous précipiter, nous avons appareillés, avec pour objectif de faire un saut de puce, qui nous aurait conduits au mouillage de Rivière sens, juste au sud de l’agglomération de Basse terre. La Mer sous le vent des hautes montagnes, de cette partie de la Guadeloupe, était bien calme je n’avais pas même envisagé de sortir les torchons ; (en terme de voileux c'est des voiles qu’il est question). Le moteur serait le seul à l’œuvre, pour courir ces 10 miles nautiques, 2 heures de ronronnement seraient suffisants. Voilà pour le projet.

    Du saut de puce à celui du kangourou

    La première heure ce passe dans un calme royal, en passant au large de l’anse a la barque, la ligne qui était a l’eau derrière Exocet, nous gratifie de la prise d’un Barracuda, il n’est pas grand, donc je le considère comestible, non vecteur de la Ciguatera, (nom d’une algue toxique pour l’homme qui est contenue dans les chairs des poissons en fin de chaine alimentaire). Il ira au frigo et fera  le repas de demain midi.

     

    La Mer peu à peu s’anime d’une petite houle de face, puis se sont des vaguelettes, qui sont plus loin des vagues qui ne sont plus  « lettes ». devant Basse terre le plan d’eau est bien agité, nous nous demandons comment sera celui devant Rivière sens, proche et un peu plus dans un creux de la côte, la réponse ne tarde pas à se faire connaitre, c’est inconfortable et le mot n’est pas exagéré, des bateaux sont la sur bouées de corps mort, la profondeur d’eau étant importante aux abords du rivage, ils sont inoccupés pour l’essentiel, un, qui a son équipage, nous renseigne sur ce que nous constations, c’est insupportable, ils vont partir pour un refuge plus calme. 

    Du saut de puce à celui du kangourou

     

    Nous nous concertons le mousse et moi, et nous décidons de faire une tentative de traverser du canal des Saintes, pour aller y trouver refuge, en se réservant la liberté de faire demi tour si ce n’était pas bon pour nous et pour Exocet. Les vagues partent en gerbes d’eau de chaque côte de l’étrave, le bateau pioche dans les creux de vagues, le vent est dans l’axe de notre route, il oscille aux environs de 25 Nds avec de belles risées, le canal ne fait pas 10 miles, cela doit pouvoir se faire assez confortablement, alors une fois avoir trouvé la bonne puissance à demander à la machine, c’est cool, alors nous continuons. J’ai un pain en préparation et une pizza qui cuit dans la poêle.

    Voila comment d’un saut de Puce, nous avons fait un saut de Kangourou.

    Dans les dernières minutes de cette navigation en touriste, je veux dire au moteur, alors que l’abri des ilots des saintes ce fait sentir le mousse vas préparer une petite salade de crudités qui sera appréciée une fois Exocet sagement arrêté et consciencieusement amarré.

     

    Du saut de puce à celui du kangourou

     

    A 13heures 30 Exocet était accroché à une bouée de corps mort sous l’îlet cabrit aux Saintes. Une fois de plus cela illustre bien le fait qu’en bateau, on sait d’où et quant on part, mais l’on ne sait, ni où, ni quant on arrivera, mais tant que l’on arrive ce n’est pas un gros problème.

    Pos : 15° 52 440 N 61° 35 800 W

     


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  • Exocet ce matin a fait un saut de puce, après une nuit ou le vent nous a un peu oublié.
    Nous avons descendu la côte sous le vent pour faire un mouillage devant Bouillante, petite agglomération qui doit son nom à des sources , qui crachent par moment des panaches de vapeur d'eau.

     

    News du 21/03/2014

     


    Nous avons en effet vue en arrivant, a deux endroits, et peut être trois, des colonnes qui montaient dans le ciel, mais es ce cela qu'il faut voir, nous l'ignorons.


    Exocet a mouillé dans 6 mètres d'eau, sur un fond de prairie pour les tortues, avec une petite brise qui vient du large, un effet de fun surement, car le vent en altitude est d'Est alors que nous avons un zéphyr qui est d'Ouest.


    Le débarquement ici n'est vraiment pas pratique en annexe, je ne sais si nous irons à terre pour une découverte des lieux.
    L’après midi nous le fera savoir, et en attendant d'être renseignés, je vous donne le position afin que vous ne nous perdiez pas:
    Pos: 16° 07 809N 61° 46 267W.


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    Une journée au Casino

     

    Vous le savez pour l’avoir lu dans le dernier message, mais j’avais fait court, aussi je reprends pour vous donner plus de détail, sans faire long non plus.

    Nous voilà de retour au bercail, La Guadeloupe, c’est ici qu’Exocet a pu accueillir le mousse arrivée avec Christelle & Sébastien le 10 janvier. Nous sommes maintenant à deux semaines du départ de Régine pour son retour en métropole. Exocet va se retrouver bien vide pour un temps dont je ne connais pas l’échéance.

     

    Une journée au Casino

     

    Je souhaite que nous profitions de ces jours restants pour les remplir au mieux. Hier lundi, ce fut le grand Casino, nous n’avons quitté le bateau rapidement qu’en fin de matinée pour aller faire la clearance d’entrée en Guadeloupe, acheter une baguette de pain et retour au plus vite sur Exocet, qui nous attendait sagement, mais les bourrasques de vent qui dévalent des hauteurs, inquiétaient le mousse au sujet de la tenue du mouillage, moi j’étais serein, l’ancre avait bien crochée dans le sable et la pâture à tortue, les 40 mètres de chaine du mouillage sur lequel j’avais posé une gueuse de 10 Kg, me rassuraient pleinement. Exocet n’avait pas bougé, il tirait des bords de droite et de gauche, comme souvent dans ces conditions, mais il avait la place pour cela.

     

    Une journée au Casino

     

    La clearance, se fait dans une boutique de souvenirs où un ordinateur est à disposition pour cela, c’est le capitaine qui entre les informations demandées, puis le personnel vérifie, valide la saisie, qui part directement au service des douanes par internet, un document papier nous est donné, avec le tampon Ad-hoc. Quelques Euros passeront de ma poche, à la caisse de l’échoppe pour, le service, le papier, l’électricité et le sourire de la caissière.

    J’ai passé l’après midi à me divertir du spectacle des manœuvres des bateaux arrivants. Je suis peut être bien moqueur, mais c’est un grand moment je vous assure, je regarde un bateau qui arrive, c’est un bateau en location, un équipage nombreux est à pied d’œuvre deux personnes à l’avant, trois dans le cockpit, deux encore accrochés aux haubans sur tribord, et pour finir une personne encore avec l’appareil photo en main qui shoot de ci de là.

     

    Une journée au Casino

     

    Après avoir tourné en tous sens dans le mouillage pour trouver la place idéale, les voila décidés ! Les ordres fusent de la voix de stentor du barreur : vous êtes prêts à l’ancre ?  Oui, oui répondent en cœur un couple placé à l’étrave, la commande du guindeau à la main de madame, la chaîne d’ancre dans celles de monsieur assis en arrière du guideau une jambe de chaque côté.

    Le bateau monte dans le vent de la place choisie, stoppe et l’ancre descend, Parfait jusque là, mais le capitaine fait arrêter bien trop tôt le déroulement de la chaine : Stop, stop c’est bon, et met la marche arrière, le bateau se met travers au vent et descend sous le vent, descend, descend encore, et encore, risque de rentrer en collision avec un autre bateau à l’ancre, machine en avant toute, ouf ! Ca a été bien juste. La chaîne passe sous la coque du bateau qui va bien trop vite. Le capitaine donne ordre de remonter le mouillage, les équipiers obtempèrent, la chaîne racle sous la coque, les peintures sous marine en prennent pour leur grade. Le guideau force plus que ce qu’il ne peut faire et se met en dysfonction. Qu’à cela ne tienne, remonter à la main, décide et demande, le capitaine. L’équipier, taillé comme un échalas s’arc-boute, tire de toutes ses forces.

    Mais là ou le moteur du guideau a dit « moi j’arrête » L’homme à la manœuvre ne réussit pas mieux, mais le capitaine continue à aller grand train, la compagne se met en renfort, pas plus de résultat, un grand gaillard jusque là observant sans le moindre geste se joint aux haleurs, le capitaine a enfin coupé les gaz, va voir ce qui se passe et du coup la chaine accepte de revenir sur le pont, où elle est déposée sans protection sur le Gelcoat de la plage avant.

    On y retourne, remonter dans le vent, remouiller, déraper ! Les 20 mètres de chaine qui en arrachant surement bien des éclats au pont du bateau sont bien insuffisants ; le spectacle a recommencé idem, mais il y a plus de spectateurs, car les bateaux sous le vent de ce manœuvrant s’inquiètent et observent, les pare battages sont de sortie pour défendre les carènes s’il ce peut d’un choc.

    Et cela a duré surement plus d’une heure quel « Casino » comme le disent en ce cas là nos voisins transalpins du Sud.

     

    Celui-ci n’est pas le seul a m’avoir diverti, mais c’était le summum de l’après midi, et j’ai été satisfait quand enfin il a pu se stabiliser et bien au loin d’Exocet par le travers.

     

    Après un planteur pour l’auteur, un sirop de pamplemousse pour le mousse, un minuscule rayon vert, au coucher du soleil nous donnait le top départ de la soirée, que j’ai passée au clavier de l’ordinateur en restant vigilant au vent et aux autres bateaux.

     

    Une journée au Casino

     

     

    Il y a des jours ou comme cela le spectacle ce n’est pas la Mer, les oiseaux, les poissons, les cétacés qui vous le donnent c’est nos congénères qui s’en chargent en faisant pour vous « le grand Casino ».

     


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  • 34 th. St. Maarten Heineken Régatta (suite)

     

    34 th. St. Maarten Heineken Régatta (suite)

     

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