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Forte aventure a Fuerteventura (suite)
Forte aventure a Fuerteventura
Deuxième partie
Une Oasis je vous disais, je ne vous mentais pas la voici. Elle englobe toutes ces aires de loisirs longe la route qui sort du village et se termine à la gare routière. Oui l’Afrique influence bien cette île ; il est des paysages qui par moment me rappellent les contrées que j’ai traversées en Tunisie et en Lybie il y a de cela bien des années, mais je les ai bien présentes en ma mémoire.
J’ai quitté le port où Exocet va m’attendre confortablement amarré dans la partie du port réservée à la plaisance,
en arrière du bassin des pêcheurs. Le but du jour était d’allé visiter l’ile avec une voiture de location. Je suis donc allé en car à l’Aéroport pour y prendre possession d’une Opel corsa avec laquelle j’ai parcouru les routes mais aussi les voies moins importantes qui se sont révélées bien intéressantes aussi.
Le problème majeur sur l’île est l’eau, il y en a tout autour mais pas de source sur cette terre aride, des éoliennes partout, pompent dans la nappe souterraine le précieux liquide source de toute forme de vie. Mais maintenant des usines produisent de l’eau douce en dessalant l’eau de Mer et des kilomètres de tuyaux parcourent en toutes les directions de vastes étendues pour apporter cette denrée essentielle à tous et partout.
Je suis allé au Nord sur la côte au vent où les vagues viennent battre les roches avec violence, pas le moindre abri pour un voilier sur cette partie de l’île.
Le puissant phare de Toston sur la punta de la ballena avertit les navigateurs.
Les rares endroits où le bain est possible sont pris d’assaut Ici ce petit havre où la Mer à marée basse laisse ce bassin pour se rincer les pieds. Mais les vagues y sont puissantes. Le spectacle est fabuleux et mis en musique par l’océan.
A l’intérieur des terres de jolis moulins vent ont été restaurés et sont inscrits au patrimoine de l’île, y avait pour fonction de moudre en farine les céréales qui entraient dans la préparation du Gofio base de l’alimentation traditionnelle.
Ils peuvent avoir quatre ou six ailes, mais leur mécanisme reste simple et rustique, mais efficace à leur époque, qui est bien révolue, aucun ne fonctionne réellement, le savoir faire à disparu.
Un panneau indique son fonctionnement mais je n’ai pas pris le temps de le traduire.
Sur le sommet d’un col en hommage aux Guanches peuplade d’origine des îles Canaries ces deux sujets sont les gardiens des traditions
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Commentaires
Les moulins ressemblet a ceux de Madère et de Porto Santo Normallement ils tournent sur leurs socles axée a 360° Bonne nav et merci pour les photos Guy